Un jour triste, d'exécrable humeur, que je connais par cœur,
Errant sur la toile, je trouvais, par le plus grand des hasard,
Une personne sympathique, excellente, ici, telle une fleur,
M'illuminant mes journées par ses apparitions, et plus tard,
Je la rencontrais enfin, bonheur total, heures parfaites,
Avant Qu'elle ne reparte, dans sa charmante contrée natale,
Toutes ces démarches pour m'en sortir, je les ai faites,
Pour la rejoindre, pouvoir être prêt d'elle, ma beauté fatale,
Maintenant chose faite, je suis heureux, ma maladresse,
Toujours présente, hélas, que j'aimerai m'en débarrasser,
Pourtant, elle, qui avec toujours autant d'adresse,
Arrive à me calmer, bien qu'elle soit un peu chiante, aller,
Beaucoup parfois, certes, mais je n'y peut rien, je l'aime,
Pour ce qu'elle est, pas pour ce qu'elle fus ou sera,
Je l'aime pour chaque seconde, sans aucune flemme,
Toujours motivé pour lui plaire, qu'elle soit fière de moi...
Même si ça fait vieux truc a l'eau de rose, je m'en fous,
Car ce ke je je peux dire en est largement en dessous
De ce que je pense réellement, car tous les mots appris,
N'y arriverons jamais, même de toute ma putain de vie...
AnTeCHriST